• Expo*

      AVEC LES YEUX (105)

    *Frida Kahlo

     

    AVEC LES YEUX (105) 

    ... j'allais oublier ... et Diego Rivera.
    Fâcheux oubl
    i : ces deux-là sont difficilement dissociables, même si, au moins physiquement, ils semblent aussi assortis qu'une carpe et un lapin ; d'ailleurs, pour ceux qui les entouraient, ils étaient la colombe et l'éléphant ...

     

    AVEC LES YEUX (105)

     

                  

            

     

     

     

                                    (photo -détail- empruntée au Net sur le  blog de Christophe Renoux, Vagabondage)

     

     

    Il faut dire que comme je préfère la peinture de Frida à celle de Diego, et que c'est son univers, et sa personnalité à elle, qui m'ont conduite à suivre A pour aller à l'Orangerie ...

     

    AVEC LES YEUX (105)

     

    De cette expo, pas d'images ici, ou presque ; en tout cas pas des tableaux ... Comme souvent dans les musées parisiens, et dans les musées tout courts, les photos étaient interdites et les gardiens ... chiourmes. Inutile d'insister.

     

    Par ailleurs, les peintures des deux Mexicains fleurissent en nombre sur Internet ...

     

     

     

    Les oeuvres de Frida sont beaucoup plus petites qu'on ne les imagine ; dans les livres, on ne se rend pas compte de l'échelle des choses (au contraire de celles de Diego ; cela dit, comme il faisait beaucoup de fresques ...) Elles sont rassemblées par séries, dans trois salles, et assez rapprochées, ce qui donne l'impression d'une présentation manquant d'ampleur. Et, accessoirement, n'aide pas à la fluidité du flot visqueux des visiteurs. Mais voir, en vrai, de près, la représentation du corps disloqué de Frida après son accident de bus, et les autres tableaux des douleurs inscrites dans sa chair, est toujours un moment émouvant pour qui s'y intéresse.
    Je signale par ailleurs qu'un très beau film retrace sa vie (Frida, de Julie Taymor, 2002, d'après un livre de Hayden Herrera).

     AVEC LES YEUX (105)

     

    Nous étions arrivées entre midi, comme on dit familièrement (pour parler de cette période floue entre midi et treize-quatorze heures pendant laquelle on a coutume de faire la pause-déjeuner) et avions attendu sous la pluie pendant une petite heure ... Quand nous sommes ressorties, nous avons constaté qu'il fallait en attendre deux ... Sont courageux les assoiffés de l'art ...

     

    AVEC LES YEUX (105)

    AVEC LES YEUX (105)

    AVEC LES YEUX (105)

    Bye bye ! Nous étions près de la rue de Rivoli ... une fois n'étant pas coutume, nous sommes allées dans un salon de thé célèbre-cher-branchouille-historique pour nous y affaler avec délices (après avoir fait la queue à l'entrée...)

     

    AVEC LES YEUX (105)

    Délicieux tête-à-tête mère-fille que cette après-midi-là : fatigant, pluvieux; mais plein d'images, de sourires, de partage.

    La presque noire crépusculaire place de la Concorde était écrasée par les  couleurs d'un ciel enchanté, enchanteur, quand nous sommes ressorties dans la fraîcheur.

    AVEC LES YEUX (105)

                                       Toutes photos (sauf celle de Frida et Diego) ©  L'oeil du Krop

    Cliquez sur les photos : c'est mieux de les voir en plus grand.

      


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