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          Au sud

     

    Le bateau immobile

     

     

    Après des mois, j'ai retrouvé au soleil les chaises blanches posées dans un autre soleil, plus, beaucoup plus au nord. Comme je le lui avais promis avec plaisir, nous nous sommes retrouvées pour un temps.

     

    Le bateau immobile

     

    Je ne connaissais pas Saint-Raphaël, ni Fréjus, ni d'autres villes égrenées au bord des rochers. J'avais déjà oublié le calme de la Mer, quand elle n'est pas agitée par le vent.

     

    Le bateau immobile

     

    Comme d'hab, j'ai d'abord voulu la voir, et y tremper mes pieds. L'eau dans les premières images. Dans les premières impressions.

     

    Le bateau immobile

     

    Ce coin du Sud, ce sera le sable, âpre, et le bois, et le rocher. Déchirures, miettes d'arbres, heurts.

     

    Le bateau immobile

     

    Le bateau immobile

     

    Et puis ces arbres debout mais qui souvent souffrent, eux aussi, de la chaleur, du vent, et des insectes qui les dévorent. Cette rangée, qui n'est en fait pas des arbres, mais des herbes, m'a rappelé de vieilles cartes au jauni qui font le souvenir et la mélancolie.

     

     Le bateau immobile

     

    Dans le Sud, ce sont les végétaux qui (me) font la première différence, avec, ensuite, le minéral, les montagnes, les roches, rouges, mais ça, c'est une autre histoire...

     

    Le bateau immobile

     

     

    ... à suivre ...


    The beach boys, Sail on, sailor

     

     


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