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    une journée de quatre août

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      C’est l’heure bleue tu sais les oiseaux de la nuit ont cessé de chanter en ouvrant le silence. Les oiseaux du matin viendront bientôt emplir la fracture du temps d’une nouvelle ivresse. Et nous nous restons là sur le pont qui rejoint le passé l'avenir, mains jointes regard serré, soudant-deux-vies-le-fil-ténu-qui-les-sépare.

     

    Version en noir et blanc ICI.

     


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