• Bis

    Cartes postales

     

    C'est bizarre, les mots ! Ce titre, par exemple, alors qu'il est, en fait, erroné. Le français sans cesse se joue de ça, le propre, le figuré, la métaphore. Les images, donc. De photos gentilles, sans aspérité, jolies, des paysages en particulier, des clichés -aux deux sens du terme- cueillis au fil de présences déambulées ici et là, le plus souvent en vacances oui, on dit que ce sont (comme) des cartes postales ... Et de fait c'est bien ce dont il va s'agir ici,  puisque cette autre série de photos est une pile de moments caractéristiques -de promenade- que j'aurais pu envoyer aux ami(e)s pour leur montrer la représentativité du lieu, de mon œil pour les voir.
    Et c'est encore à Stockholm. (Re)voyager dans son fauteuil, se remémorer en douce, ce n'est pas mal non plus.
    Je me suis aperçue que si j'avais déjà sorti pas mal de photos de mes cartons imaginaires, il m'en restait tant, encore, alors vous risquez, par la suite, d'en prendre encore sur la tête, de la Suède, même si attendent, en travaux, d'autres articles sur des expos passées, et à venir bientôt, ou d'autres textes plus personnels ; ainsi va la vie des blogs, au gré de nos fantaisies ...

     

    Bis

     Dans la vieille ville...

    Bis

    L'eau. Mélancolie... Rêver.

    Bis

    Tiens, un cycliste qui s'arrête au feu rouge ! :-)
    ("circulation alternée" ? la trad. google n'aide pas vraiment)

     Bis

    L'eau. Mélancolie... Rêver. (Encore)

    Bis

     Le Musée de la photographie : j'y passai des heures ; plusieurs grandes expos, toutes plus intéressantes les unes que les autres, dans un très bel endroit  : un de mes moments préférés.

     Bis

    L'eau. Mélancolie... Rêver. (Toujours)

    Bis

    Jolies couleurs...

    Bis

    Jolies lignes...

    Bis

     Un quartier où j'eusse aimé vivre...

    Bis

    Derrière chaque fenêtre (ou presque), une lampe, des bougies, des fleurs...

    Bis

     Pains, vélos, reflets...

    Bis

    Stockholm est à la fois la ville et la campagne, ancienne et nouvelle : les bâtiments d'affaires côtoient des quartiers anciens ; les parcs ponctuent de vert, et à part dans la vieille ville (Gamla Stan) on a la sensation d'avoir de la place, de l'espace partout. Respiration de l'air ; respiration de l'eau aussi. Et tout ça sans sensation, nulle part, de violence ni de bruit.

     Bis

    Une église et un grand parc autour (j'ai oublié le nom).

     Bis

     Rouge falun, caractéristique. Dans beaucoup de maisonnettes.

    Bis

    La nature est toujours la plus forte !

    Bis

                                                ("sortie")                          ("tenir la porte")     

    Bis

                                                      ("école primaire")

    Bis

                        Photos © L'oeil du Krop  (clic pour agrandir les images)

     

    Bror Gunnar Jansson (musicien suédois), And the great unknown (en version vidéo Youtube ICI)

     

     

    « ÉchappatoireRépit ? »

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 29 Octobre 2017 à 07:29

    ...voyager au travers de photos, j'adore! à tel point que je passe un temps fou sur mon ordinateur à visiter les blogs, sans me sentir indiscrète puisque c'est un partage..

    Bon dimanche!

    Bises de Mireille du Sablon

      • Dimanche 29 Octobre 2017 à 14:54

        Ah, ça me fait plaisir que ça te fasse plaisir ! Merci beaucoup. Bon dimanche. Et des bises.

    2
    Dimanche 29 Octobre 2017 à 08:04

    Mireille a raison, c'est un partage ... ainsi sont les blogs qui selon le gré du moment de leur concepteur nous font connaître leur bien-être autant que leurs désirs ou leurs pensées ... j'aime voyager tout au long de ces partages ...

    amitié .

      • Dimanche 29 Octobre 2017 à 14:56

        Puis-je bisser le com précédent ? En te bisant itou, bien sûr ! Amitiés.

    3
    Dimanche 29 Octobre 2017 à 08:59

    Superbe voyage. Merci puor le partage. À quoi ça ressemble un taxi pas plat du coup ?

      • Dimanche 29 Octobre 2017 à 14:53

        :-) C'est drôle ! Et... merci.

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    4
    Dimanche 29 Octobre 2017 à 18:15

    Belle série qui donne envie de voyages ...

      • Dimanche 29 Octobre 2017 à 18:37

         ... à moi aussi ... :-)    Merci !

    5
    Dimanche 29 Octobre 2017 à 18:54

    Ces infinies nuances de gris eau-mer...rêves oui.

    Merci pour ces jolies photos!

      • Dimanche 29 Octobre 2017 à 19:34

        Merci à toi, colo !

    6
    Dimanche 29 Octobre 2017 à 22:42

    Les cartes-postales sont des photos de moments futiles d'un instant, mais avec l'âge, elles nous présentent ce qui n'existe plus, d'où leur importance historique. Vêtements des passants, affichage, voitures dans les rues, etc., tout devient témoignages. En histoire, on s'est servait beaucoup. Par exemple, trouver la description d'un village : nil ! Par contre, une carte postale du dit village et nous avions exactement sous les yeux ce que c'était, tout comme une culture, un courant architectural, etc.


    Tes photos peuvent paraître banales - bien que jolies - mais dans trente années, elles auront pris un autre sens.


    J'ai raconté chez moi le résumé d'un roman écrit cette année, à l'effet qu'une jeune femme de 25 ans, en 1905, rencontre l'esprit d'un extra-terrestre et qui craint les humains, sauf cette jeune femme. Il est tout de même curieux de cette civilisation inconnue et mon personnage lui présente la Terre à l'aide de cartes-postales, qui fascinent notre voyageur de l'espace.

      • Dimanche 29 Octobre 2017 à 23:29

        Merci. Merci beaucoup pour ce commentaire, Mario !

    7
    Patrick
    Lundi 30 Octobre 2017 à 16:07

    C'est bien vrai que les cartes postales acquièrent une valeur historique phénoménale , quelques années ou décennies après leur sortie.

    la notion de "vêtements des passants" est très vraie et me fait rebondir sur un autre aspect de ces passants, témoins,  anonymes et figés, de la Vie " ici et maintenant ",  couchée sur la pellicule ** .

    ces passants sont,  sur tes photos , assez peu nombreux et ça me fait repenser a des cartes postales et photos de Paris dans les années 50 , ou prises en pleine journée ,  à une époque de circulation moindre , une époque où a l'évidence entre 8.00 et midi , tout comme  entre 14 et 18.00 il y avait peu de monde dans les rues.

    ces témoignages d'époques anciennes, ou de civilisation différentes de la notre , sous d'autres cieux et climats ,  dans des atmosphères aux couleurs inhabituelles pour nos yeux, ne peuvent que nous aider à  laisser libre cours a notre fil de pensée.

    c'est rare et ça fait du bien : Merci Nikole . 

     

    **  non je ne parle pas d' Harvey Weinstein  ;)

      • Mardi 31 Octobre 2017 à 13:33

        Merci de passer et de t'exprimer longtemps ici ! Je suis pour ma part sensible aux vieilles cartes postales, sans doute plus par nostalgie (un peu ridicule, parfois, sans doute) : elles me plongent dans une mélancolie rêveuse qui peut me faire aller très loin. J'ai gardé une grande quantité de celles que j'ai reçues, et acheté quelques anciennes vues de notre ville d'origine !
        Sur les photos de ce billet, c'est à dessein qu'il n'y a pas ou peu de gens : j'ai privilégié les bâtiments, et pas les places plus habitées. Peut-être une autre fois, plus tard.
        Merci pour ton com, ton humour, ta gentillesse, toussa  :-) Je t'embrasse.

    8
    Lundi 30 Octobre 2017 à 17:01

    Photos simples qui présentent les lieux comme on pourrait les voir, si on avait la chance d'être sur place. Preuve qu'elles sont bonnes, on ressent parfaitement l'atmosphère décrite dans les textes! :-)

      • Mardi 31 Octobre 2017 à 13:24

        Je suis sensible à ce nouveau passage ici : merci ! Merci aussi pour le compliment ! :-)

    9
    Mardi 31 Octobre 2017 à 16:06

    Belle série qui nous permet de partager ton coup d'œil du Krop ! Rêvons...

      • Mardi 31 Octobre 2017 à 16:44

        C'est très gentil, Tania : merci !

    10
    Mardi 31 Octobre 2017 à 19:21

    La Suède, un pays que je ne connais et que je ne connaîtrai peut-être jamais. Intéressante cette série de photos : tout semble paisiblement coloré, comme si la coloration des maisons rendait une meilleure image du vivre ensemble. Comme si ces couleurs plus ou moins "pastel" signifiaient le sens de la vie des habitants et permettaient de mieux s'intégrer dans le paysage ou dans l'esprit de ce pays nordique. Une coloration qui manque plutôt chez nous et qui nous rappelle qu'il n'y rien de plus morne que la platitude de l'architecture moderne. Quelque chose de vivant malgré le silence qui semble entourer ces bâtisses parfois imposantes. Un reflet de ce qu'est la vie là-bas ? Un reflet de la mentalité des habitants ? Ou tout simplement un style de vie adopté depuis longtemps qui se marie aux couleurs des façades ?

      • Mercredi 1er Novembre 2017 à 07:52

        Depuis l'enfance je voulais y aller mais plusieurs facteurs dont ma sédentarité viscérale m'en empêchaient. L'invitation par une copine dont la famille y résidait un temps pour son travail fut l'occasion favorable. Elle n'a pas aimé un pays qu'elle trouva froid à tous égards. En ce qui me concerne j'aime le froid propre et le froid figuré quand il signifie discrétion, politesse et respect des règles en société. Mais ces caractéristiques ne signifient pas repli ni égoïsme, bien au contraire pour moi. Comme je l'avais entrevu quelques heures il y a fort longtemps  à Amsterdam, je fus étonnée là encore par l'ouverture : l'absence de volets, la déco qui se voit de l'extérieur, les vélos posés contre les murs sans anti-vol, la propreté du métro, l'absence de tricherie dans les transports. Tout cela changera, j'en ai peur, mais j'ai eu cette sensation d'un monde que d'aucun.e.s (:-)  petite plaisanterie en passant sur l'écriture inclusive qu'on évoque ces temps...) trouvent trop polissé (policé ?), mais qui moi me convient, et où, moi en tout cas, on a l'esprit tranquille. La couleur des lieux pallie le gris présent sans doute  souvent ; quant à l'ocre qui recouvre le bois, il rend imputrescible des lieux souvent exposés à l'humidité, dans un pays où l'eau est reine et le ciel probablement embué souvent (j'ai eu les deux, la pluie et le soleil-frais-, c'était en mai). Imputrescible : ce serait beau de pouvoir attribuer cet adjectif au monde !
        Merci le Mousquetaire.

    11
    Vendredi 3 Novembre 2017 à 08:59

    Les reflets dans la vitre de la boulangerie : j'aime bien.

      • Vendredi 3 Novembre 2017 à 09:16

        Pain sur vélo
        Je trouve ça rigolo.

        Merci !

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