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L'expo du week-end
© L'Oeil du Krop – expo Jules Adler
Comme je descendais des fleuves impassibles
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs ... (Rimbaud)
Tags : haleurs
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Commentaires
4patrickSamedi 8 Février 2020 à 21:02c'est un thème de photos en soi, et un thème d'observation , la façon dont les gens se comportent au musée et devant les oeuvres, je le ferai un jour pour le plaisir, bises
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Dimanche 9 Février 2020 à 16:57
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Je ne connais pas ce peintre... Alors j'ai fouiné: naturaliste, peintre des humbles, je comprends pourquoi ses tableaux t'ont parlé...
Ces gens qui se tiennent par la main sont-ils conscients de la chance qu'ils ont, de pouvoir faire ce geste simple? Depuis quelques temps, je me pose la question...
Bisou doux
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Mardi 11 Février 2020 à 13:09
On était venus voir l'expo photo attenante, mais toute petite ; on a été tentés par celle-là aussi, importante, en formes et en contenus : j'ai découvert. Moi qui ne suis pas assez curieuse, j'adore ce genre de surprises ! :-)
J'espère qu'ils ont conscience de leur chance. Et je souhaite à chacun.e de connaître l'amour. Et pas ses chagrins.
Doux bisou. -
Mercredi 12 Février 2020 à 14:52
J'étais encore plus terre à terre... juste la possibilité physique de se donner la main, c'est d'une telle banalité, et pourtant... Mais je fais du hors sujet, là...
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Mercredi 12 Février 2020 à 16:54
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Magnifique ce tableau ! Les tâcherons d'autrefois avaient bien des problèmes. Aujourd'hui, cela se passe mieux chez nous mais pas ailleurs : il suffit de regarder des reportages sur ces camionneurs de pays pauvres dont les routes ne sont pas goudronnées et pas entretenues : pour faire une centaine de kilomètres, il faut parfois trois jours et surtout des tâcherons qui déblaient quand ils ne rempierrent pas ces routes cabossés et très dangereuses. C'est le nouvel esclavage : les bleds éloignés des grands centres se font livrer jusqu'à l'eau. Et quand ils perchent sur la montagne, l'état des routes fait peur.
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Samedi 15 Février 2020 à 09:57
J'ai déjà vu de ces reportages terrifiants et qui provoquent chez moi une compassion immense pour ces êtres à la merci de dangers dont se fout le monde (money money, toujours). Chaque fois, ça me fait penser au Salaire de la peur, film traumatisant la première fois que je le vis (j'étais gamine, alors). Merci pour ton com, l'ami ; et ta fidélité à consulter ma prose et mes images.
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il nous reste les chemins de halages où plus souvent que des hommes, les femmes tiraient vaille que vaille ces lourdes péniches ...
amitié .
Chemin de halage, haleur ... j'ai toujours aimé ces mots ... et été ravie de découvrir ce tableau que j'ai tout de suite imaginé illuminé des premiers vers du Bateau ivre ...
Amitié.