• L'expo du week-end

     

     

    L'expo du week-end

                                                                    © L'Oeil du Krop – expo Jules Adler

     

     

    Comme je descendais des fleuves impassibles
                             Je ne me sentis plus guidé par les haleurs ...            (Rimbaud)

     

    « InterludeThèmagazine »

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  • Commentaires

    1
    Samedi 8 Février 2020 à 14:50

    il nous reste les chemins de halages où plus souvent que des hommes, les femmes tiraient vaille que vaille ces lourdes péniches ... 

    amitié .

      • Samedi 8 Février 2020 à 18:44

        Chemin de halage, haleur ... j'ai toujours aimé ces mots  ... et été ravie de découvrir ce tableau que j'ai tout de suite imaginé illuminé des premiers vers du Bateau ivre ...
        Amitié.

    2
    Samedi 8 Février 2020 à 15:27

    Que beau tableau, plein de vérités...la vie si dure parfois...

    Bises du jour

    Mireille du sablon

      • Samedi 8 Février 2020 à 18:45

        Ce peintre me fut une découverte. Je n'aime pas tout, mais tout ce que j'ai vu m'a parlé !
        Merci du passage, Mireille. Et bises du soir.

    3
    Samedi 8 Février 2020 à 17:04
    daniel

    Il faut toujours avancer dans le sens du courant. C'est beaucoup plus facile !

      • Samedi 8 Février 2020 à 18:47

        Certes ! :-)  
        Merci de ton passage
        Sur le chemin de mon halage.

         

    4
    patrick
    Samedi 8 Février 2020 à 21:02

    Bel effort collectif , que l'on perçoit vraiment bien.....

    et c'est bien là l'important , d'ailleurs l'artiste n'a pas peint ce qu'ils tirent.....

      • Samedi 8 Février 2020 à 23:24

        Certes ... :-)

    5
    Dimanche 9 Février 2020 à 09:58

    La tension est très bien retranscrite dans le tableau

      • Dimanche 9 Février 2020 à 10:28

        C'est vrai.
        Bon dimanche Thierry !

    6
    Dimanche 9 Février 2020 à 11:23

    Ainsi va la vie. Il faut tirer, tirer, tirer ... Pour arriver où ? Florentin

      • Dimanche 9 Février 2020 à 12:09

        :-(    ...   en même temps, le principal n'est-il pas qu'on ne soit pas seul.e à le faire !      :-)

    7
    Dimanche 9 Février 2020 à 16:26

    c'est un thème de photos en soi, et un thème d'observation , la façon dont les gens se comportent au musée et devant les oeuvres, je le ferai un jour pour le plaisir, bises

      • Dimanche 9 Février 2020 à 16:57

        Tu as raison ... et d'ailleurs, on ne le voit pas bien, mais si j'ai pris cette photo, c'est aussi parce qu'ils se tiennent par la main.
        Merci d'être passée. Bises.

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    8
    Mardi 11 Février 2020 à 13:01

    Je ne connais pas ce peintre... Alors j'ai fouiné: naturaliste, peintre des humbles, je comprends pourquoi ses tableaux t'ont parlé... 

    Ces gens qui se tiennent par la main sont-ils conscients de la chance qu'ils ont, de pouvoir faire ce geste simple? Depuis quelques temps, je me pose la question...

    Bisou doux

      • Mardi 11 Février 2020 à 13:09

        On était venus voir l'expo photo attenante, mais toute petite ; on a été tentés par celle-là aussi, importante, en formes et en contenus : j'ai découvert. Moi qui ne suis pas assez curieuse, j'adore ce genre de surprises ! :-)
        J'espère qu'ils ont conscience de leur chance. Et je souhaite à chacun.e de connaître l'amour. Et pas ses chagrins.
        Doux bisou.

      • Mercredi 12 Février 2020 à 14:52

        J'étais encore plus terre à terre... juste la possibilité physique de se donner la main, c'est d'une telle banalité, et pourtant... Mais je fais du hors sujet, là...

         

      • Mercredi 12 Février 2020 à 16:54

        Ah ! je n'avais pas compris bien sûr. Cela dit, c'est bon de le rappeler. Hors sujet ? Et alors ... :-)♥

    9
    Samedi 15 Février 2020 à 09:48

    Magnifique ce tableau ! Les tâcherons d'autrefois avaient bien des problèmes. Aujourd'hui, cela se passe mieux chez nous mais pas ailleurs : il suffit de regarder des reportages sur ces camionneurs de pays pauvres dont les routes ne sont pas goudronnées et pas entretenues : pour faire une centaine de kilomètres, il faut parfois trois jours et surtout des tâcherons qui déblaient quand ils ne rempierrent pas ces routes cabossés et très dangereuses. C'est le nouvel esclavage : les bleds éloignés des grands centres se font livrer jusqu'à l'eau. Et quand ils perchent sur la montagne, l'état des routes fait peur.

      • Samedi 15 Février 2020 à 09:57

        J'ai déjà vu de ces reportages terrifiants et qui provoquent chez moi une compassion immense pour ces êtres à la merci de dangers dont se fout le monde (money money, toujours). Chaque fois, ça me fait penser au Salaire de la peur, film traumatisant la première fois que je le vis (j'étais gamine, alors). Merci pour ton com, l'ami ; et ta fidélité à consulter ma prose et mes images.

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