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La formule
Club des poètes
Il faut être toujours ivre, tout est là ; c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous ! (Baudelaire)
(clic pour une plus grande portion)
©uisiné par le Krop
Nul doute que les restaurateurs ont suivi le conseil du grand Charles à la lettre, quant au manger et au boire (malgré la réserve en fin de tableau) ; cette offre de repas -que je trouve, pour ma part, de pure poésie*- a en tout cas une grande vertu, celle de faire sourire.
Cela dit, si quelqu'un(e) a la solution de l'énigme...*et qui me rappelle ce menu-là.
Tags : Baudelaire Petite poèmes en prose
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Commentaires
3SergioBroVendredi 11 Août 2017 à 13:334SergioBroLundi 14 Août 2017 à 13:09Estompé - sous le texte lisible -
« Les Moules » c'était hier - puisque nous voyons le menu de vendredi.
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Désolé :-|
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Lundi 14 Août 2017 à 13:18
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En cherchant, merci gogol, on trouve des recettes de cuisine asiatique de "Poulet ivre" .
Sur ta photo on voit bien à l'écriture tremblée que le cuisinier a déjà gouté sa recette, façon "dinde au whisky" ....
:-))))
Merci !! C'est idiot de ma part -ah, les préjugés !- mais l'expression m'a paru tellement incongrue que je n'ai même pas eu l'idée de chercher si elle correspondait à quelque chose d'existant ; comme quoi hein ! :-)
Ah oui, la dinde au whisky : une recette inénarrable (de lapin) !