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        Il y avait eu cette série sur arte (bien sûr !), "Polar Park", avec un J.P. Rouve que, c'est ainsi pour beaucoup d'acteurs comiques ou considérés comme tels, je trouve excellent dans les œuvres non axées sur le rire, là où il peut montrer l'étendue de son talent, en particulier dans les nuances et la finesse du jeu.

        Plus tard, il y a eu ce film, "Poupoupidou", dont on a découvert qu'il suivait une trame commune, en tout cas dans la même veine, qui pourtant avait été utilisée bien longtemps auparavant, et reprise dans la série sus-évoquée.

        Dans ce film-là (et je ne dévoilerai rien qui ne se sache tout de suite) il est question d'une sorte de Marilyn des montagnes. Et, de temps en temps, comme ce qu'on appelle un gimmick, du chiffre 5. La Monroe dormait avec comme pyjama "Le 5" de Chanel : que ça vienne de là ou pas, c'est ce à quoi j'ai songé.

     

     V. Paradis, Marilyn et John

     

        Du coup, en y repensant, quand je suis tombée, dans un musée, sur ledit chiffre, j'ai eu envie de le mettre en boîte, pensant déjà à ce jour, , où j'en glisserais l'image dans une page de mon blog. Même si je n'étais pas sûre de le faire, puisqu'en général, si je pense souvent à "des choses" qui pourraient atterrir ici, abbloguir, elles restent souvent dans ma tête, cachées, égarées, le plus souvent, à tout jamais.

     

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        Quoi qu'il en soit, si cette page vous donnait envie d'aller voir ce dont j'ai parlé, ce serait déjà ça ; j'espère que vous y prendrez autant de plaisir que j'en pris. Et d'ailleurs je serais bien en peine de décider si je préfère la série ou le film : à l'occasion, si ça vous dit (ou si vous avez vu), vous me direz, d'accord ?

         Du coup, de mon ... cinquième étage, depuis que j'ai écrit ces lignes, j'entends, je vois, des 5, ici et là.

     

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    C. Gainsbourg, 5 h 55


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