-
éKlats 42/52
CLIC ! et les photos s'ouvrent ...
Ma cadette est repartie. Comme je sens fort mon cœur alors, qui se serre à outrance et pleure ! Elle repart vers une vie difficile, moins protégée qu'ici. C'est sa vie. Qui dépend d'elle. Elle est adulte et je ne devrais pas m'en vouloir. Mais je m'en veux quand même, comme si je n'avais pas, ou pas assez, su, ou pu lui apprendre à s'aguerrir, à être libre, détachée de la pesanteur. Libre ? Est-ce qu'on parvient un jour, et suis-je la seule ainsi, même en sachant que j'ai tort, à considérer ses enfants comme de véritables adultes qui maîtrisent leur vie ou devraient pouvoir le faire ?
Les microbes que malheureusement je lui ai sans doute refilés et ensuite des problèmes de train ont allongé son séjour chez moi et finalement elle a passé ici son anniversaire : ça a réconforté mon cœur aimant de mère de pouvoir un peu la gâter à cette occasion-là. Faudrait que je fasse plus confiance à la vie et à celle de mes filles. Cette inquiétude (presque) permanente, même si des j'ai des oasis récurrentes de fraîcheur insouciante, c'est quand même fatigant parfois.
Elle est triste que sa période d'anniversaire cadre maintenant avec les hommages faits aux profs assassinés par les nazislamistes ; comme pour moi, ce souvenir lui est insupportable. Mais tant d'évènements insoutenables ont lieu à la même date que des évènements particuliers heureux qu'il ne faut surtout pas se laisser entamer, écorcher par ces idées-là.Samedi dernier, j'ai découvert par hasard que c'était l'anniversaire de Patrick Simmons, un de mes musiciens chouchoux, depuis que j'ai découvert avec plaisir les Doobie Brothers, sur le tard ! L'occasion d'écouter une fois de plus une des musiques que j'aime :
Je ne me lasse pas de cette chanson ...
Ah, si ce qu'on invente la nuit pouvait nous être offert au réveil ! Quoiqu'un peu précieux dans sa forme, et peut-être certes plus proche de M. Carême que de P. Verlaine, il me combla d'aise, ce poème inventé que récitait une belle jeune femme dans la voiture conduite par Gainsbourg, qui s'enquit de son auteur. En l'apprenant, il répondit alors que oui, John Upu avait toujours écrit de belles choses.
Je ressens d'ordinaire bien plus mal les images de souffrance physique que psychologique, mais dans ce film : "K-19, piège des profondeurs", la prédominance des injonctions injustes du "camarade commandant" envers ces pauvres hommes qui sans rechigner par patriotisme, honneur, peur, obéissance, voire tout ça, donnent leur vie, et souffrante, au service d'une nation, communiste, m'effraie et me révolte. L'horreur, inhumaine. Sacrifices humains.
Pierre Vernier, Rocambole des années soixante, découvert par moi aux temps où j'étais, déjà, une enfant de la télé, est mort. Quoi qu'il jouât, sa personne m'a toujours semblé d'une élégance sans mélange. J'eusse aimé qu'on le célébrât un peu en un film-souvenir, même si c'est plus dans des seconds rôles qu'on l'avait fait travailler, en cette téloche qui n'hommage, sauf exceptions, plus grand-chose ni grand-quelqu'un.
Et c'est étrange à imaginer, mais j'ai rêvé ma mort ! Expérience des plus bizarres qu'il m'ait été donné de vivre en songe. Le plus bizarre sans doute ayant été que j'ai vécu cela sans peur, tout en observation raisonnée, en tout cas à ce qu'il m'en a semblé d'après mes souvenirs. Dans ce rêve, je vois une balle arriver dans mon front. Nuit immédiate totale. Je me sens alors dans le noir, oui, je suis comme immergée, flottante dans ce noir, puissamment mais sans douleur et je me dis juste qu'il ne faudrait pas que je fasse une crise de claustrophobie ! Or, la situation ne dure guère et je n'ai pas le temps d'y réfléchir : dans mon rêve, je me réveille brusquement mais calmement, heureuse de constater que ce n'en était qu'un, de rêve.
"Smoke" est un film que j'aime vraiment bien. Mais quoi d'étonnant à ce que je me sente chez moi dans un lieu qui illustre un coin de quartier, des rapports de voisinage humains, la photographie, une échoppe qui, quelque part, ressemble tant à mon lieu de vie ou ce que j'en vois à travers ma personnalité. Et puis Harvey Keitel ... (même si le summum de son charme -sauvage- est atteint dans un autre film, "La leçon de piano"). "Smoke" l'est, plein de charme.
On a enquillé sur "Brooklyn movie", sa pseudo-suite, le lendemain soir, film que j'avais sans doute déjà vu aussi, mais complètement oublié ... en particulier la présence récurrente de Jim Jarmush et de Lou Reed ; film bof, mais habité quand même par une sorte de charme flou enveloppant un peu foutraque et cravaté de fantaisie. "Brooklyn" est un petit grain de la folie douce de certains quotidiens.
Découvert, du coup, cette chanson qui me plaît bien (style typique d'icelui) :Les nourritures de l'enfance ? (Un des innombrables écrits que j'ai en cours ...)
Mes (les ?) rêves sont d'une densité confondante, tant la réalité de leur vécu semble ancrée dans la vie du jour. Et elle l'est bien sûr, nourrie par des nombreuses boîtes appertisées ou non ; c'est un monde qui me fascine :
J'erre dans un magasin de produits exotiques de toutes sortes en bocaux multicolores, à la recherche de pois chiches que je ne trouverai jamais (il semble que je sois la seule à savoir que ça existe). Je parle et parle à un homme mais il fait comme si je n'étais pas là et disparais dans un escalier ... Des femmes, plus tard, m'écouteront, bienveillantes, mais sans comprendre ce que je raconte.Sans doute, sans aucun doute, les nombreuses stations devant la télé, entre films et séries expertes y sont pour quelque chose dans la fixations de symboles, transpositions, cristallisations et, ou, autres.
À hauteur de la librairie, où il s'apprête à entrer, un homme sort un masque de sa poche, et le fait tomber sur les pavés disjoints empoussiérés de la rue. Il émet quelques grognements agacés, le ramasse et le pose sur son nez.À la boulangerie, j'achète un petit pain pour mon compagnon (amateur, à mon inverse, de croûtons ... sujet sur lequel on ne se disputera jamais). Je pioche avec délicatesse sous le monceau à portée de main de la gent cliente. Un petit pain tombe et je me répands en excuses. La boulangère insiste sur le peu d'importance de la chose, argüant du fait que la pyramide des petits pains, c'est de leur faute, et sans doute peu pratique. J'explique que j'ai pris un petit pain en-dessous, craignant les microbes, là, tout près. Je dis que je crains qu'on crache dessus. Elle me regarde de travers "les clients ne crachent pas !" ; bêtement, au lieu d'utiliser le mot idoine, "postillonner" -pourquoi ne me vient-il pas à la bouche ? .... inattendu pour quelqu'une qui aime la précision des mots ...- je m'enferre en disant qu'ils ne le font pas exprès ! Je porte le coup de grâce en affirmant que si les contrôles de l'hygiène passent, ils risquent des ennuis. Le boulanger, pas loin, me regarde d'un drôle d'œil.
Un autre jour, j'ai souri devant le souk (mon boulanger est d'origine maghrébine) de l'étalage en fin de matinée ! (Je cherche toujours le tiramisu à'c't'heure !)
Tombée sur une émission évoquant la danse, à São Polo, je m'y arrête. J'apprends alors que les danseuses sont aveugles (les profs et les danseurs ne le sont pas). Bien sûr, le toucher est primordial. Je reste pétrifiée devant ce que je vois : l'amour de la danse mais aussi de la vie, le dépassement de soi, l'entraide. De ces visions, pardon pour le jeu de mot involontaire, qui relativisent vite fait des problèmes qui ne sont pas de l'envergure de la cécité.
Parfois, le monde me réconcilie avec lui. Et avec certains humains aussi.L'Art. Un des sauvetages de la vie ? Voire. Une autre émission encore me retient, sur le peintre Kokoschka (Arte tv), dont je découvre l'histoire. Je me prends d'intérêt pour cette vie pas simple, pour cet "artiste dégénéré" (dixint les nazis) : je découvre une de ses toiles lacérée par eux, que curieusement je trouve encore très belle, voire plus, avec ces cicatrices (car à certaines cicatrices, à certaines lacérations, je trouve de la beauté, comme une trace -mais vivante, comme réparée, survie- d'un malheur passé ... ça a du sens, que je m'intéresse aux affiches lacérées ; qu'elles me parlent ...). Et puis, à un moment donné, je déchante. Après la guerre, et bien qu'étant au courant, ledit peintre est en amitié-affaire avec un des galeristes connu comme ayant volé beaucoup d'œuvres d'art aux Juifs pendant leur déportation ... L'homme et l'artiste, cloisons étanches ? Ben non, je n'y arriverai jamais.
IL s'absente une fois de plus. Spleen immédiat ... laisser les heures d'éloignement réguler l'humeur et affaiblir la tristesse immédiate. Et je m'inquiète de son inquiétude à retrouver de vieux parents abîmés de plus en plus et une atmosphère lourde. L'amer, la mer de la vie aussi, avec ses mouvements de vagues pas toujours vagues. Ressac.
J'aperçois parfois l'une ou l'autre personne transportée quand il s'en va (il utilise blablacar) ... et je m'étonne et y regarde à deux fois en souriant :Je continuerai de dire que si la drogue rapporte tant de fric, c'est d'abord parce qu'il y a des gens pour en acheter, et qu'il serait bien de foutre une trouille carabinée -le mot me plaît tiens !- au drogué lambda de ce côté-là du vice. Quand on connaît l'ampleur du fléau, et la "consensus" des animateurs et autres journalistes qui crient haro sur le baudet, voire la mule, je ne peux m'empêcher d'éructer aux faux-culs, ne doutant pas un seul instant que parmi eux un certain nombre en croque sniffe !
Octobre est devenu rose. Rester sur cette idée de couleur délicate, en tournant le dos, symboliquement, un temps, au malheur, et sur la pointe des pieds, se laisser aller, un temps encore, à l'évanescence et au rêve.
-
Commentaires
Tout ce qui concerne nos enfants nous affecte quand c' est négatif, et il est vrai qu'on se fait souvent des reproches, en fait injustifiés !
ça rassure, et ça fait du bien de pouvoir leur faire plaisir !
Ah, les rêves, un triturage du cerveau qui joue les IA !
il y a les périodes glaciaires, il y a le réchauffement, c' est pareil pour le monde des humains qui oublient vite le plus jamais ça, et j' avoue que ça commence à puer sérieusement entre les provocations des uns et la folie des autres !
On découvre sur les écrans, mais je m' étonne toujours de ces handicaps qu'on veut effacer en pratiquant des sports que tous les non-handicapés ne pratiquent pas forcément !
Patrick Simmons, j' aime bien, et son country-rock aussi
Bonne semaine
Amitié
PS : les reportages en Afriques, si avec l' S et les étals de viandes en plein soleil, heureusement ventilées par les mouches !!
-
Lundi 21 Octobre à 13:37
La condition de mère est une bien étrange expérience, que je n'imaginais pas aussi envahissante. Des joies y sont immenses, des inquiétudes aussi. Mais je pensaient que plus les enfants grandissaient, plus on s'apaisait : ce n'est pas vraiment le cas, mais je suppose que c'est une donnée générale de mon caractère, que l'inquiétude et la soif inextinguible d'un monde et de mon monde plus apaisé ... il faut soigner par la constance, l'opiniâtreté à vivre fort chaque instant pendant lequel on se sent fort : heureusement, il y en a !
Contente pour la musique ... j'ai parfois l'impression que cet aspect de mon blog intéresse peu.
Je me suis étonnée comme toi, par exemple lors des JO où de lourdement handicapés faisaient des merveilles et vivaient ce qui semblait être un pur bonheur, et ça, ça !!!
Merci pour ta fidélité indéfectible et visible à ce que je poste ici et là-bas : ça me touche infiniment.
Ps : cela fait bien longtemps que je n'ai pas vu une telle image lors d'un reportage ... beurk, je ne te remercie pas pour le rictus que tu me fais arborer ... -
Lundi 21 Octobre à 13:48
-
toutes les mères voudraient que leurs enfants soient protégés des "aléas" de la vie mais ...
c'est un peu comme les bactéries, elles sont partout au point qu'on se dit qu'il serait peut-être bon de vivre avec ...
ma télé (ici à la mer) a rendu l'âme, pas de radio non plus, ouf toi puis il me restent les livres et l'ordinateur ...
courage, il reviendra !
amitié .
-
Lundi 21 Octobre à 13:27
-
4patrickLundi 21 Octobre à 12:39Tant de choses à lire, assimiler et trier .... tant de belles choses dois-je dire, et avec des subjonctifs qui vont bien et que j'adore !
mais , à quoi répondre ? si tant est qu' il faille le faire . La drogue est le sujet qui me fait le plus réagir. Certes si personne n’achète tu ne vends rien. Tout comme si personne ne regarde les programmes "à la con" de certaines chaines , ils n'en feraient pas ?.....tu peux y croire , à ça , Toi ?
moi, non, pas une seconde
La création du besoin est une technique et parfois même élevé au rang d'un Art , au service de choses merdiques , on est ok, mais c'est si facile de rendre accro quelqu'un au shit a l'héro, à un savon, une lessive ou au jeu....c'est si facile ... Car qui décide , en fin de parcours , s'il prend ou pas ? c'est le pauvre petit être humain , bien assez faible pour se soumettre seul, comme un grand , à toutes les tentations, y compris celle de buter celui, ou celle qui se dresse sur son chemin . L'humain est veule , pleutre, vénal, de mauvaise foi, etc , etc :bref Mauvais , toujours , en partie variables , mais toujours un peu, au minimum....certains font même le "fabuleux " Strike de tout cumuler... Alors la drogue dans tout ça ? au milieu des marchands de guerre , de ceux qui la font , la prostitution..... se rappeler, TOUJOURS, que TANT qu'un fléau social comme la guerre , la Came , font vivre plus de monde qu'ils n'en tuent, il n'y a aucun espoir de voir les choses changer . J'ose à peine te souhaiter bonne journée .
-
Lundi 21 Octobre à 13:25
Merci pour les compliments.
Et pour ton commentaire.
Sur la drogue (et pas sur d'autres produits, on a un cerveau ... les humains seraient-ils juste bêtes ?) tu as raison, je ne crois pas qu'on puisse en venir à bout (la prostitution non plus, à quoi elle est d'ailleurs associée souvent) mais même si ça pouvait faire un tout petit quelque chose ... avec la trouille parfois, les gens changent d'attitude ... Et j'ai parfaitement conscience qu'il est facile de se laisser embringuer (funestement) dans toutes sortes d'addictions, voire de s'y plonger soi-même, mais à ton inverse, si je ne me nourris pas en pointillés de micro-bribes d'optimisme, voire de vague espoir, je crève. Je dis régulièrement que la suprême forme d'intelligence (se battre, au sens propre comme figuré, même si on le fait tous à plus ou moins grande mesure, est parfois surhumain) dans ce monde pourri est le suicide ... mais je ne suis pas suicidaire, j'aime bien trop la vie et ses miettes d'espoir et d'instants de bonheur, ce gros mot ! Ces instants qui même rares, réinjectent un truc dans le cerveau, le cœur, le corps, et qui nous font repartir pour un tour, et même plusieurs. Paradoxes. Une chose et son contraire. Oui, au gré des jours et de leur contenu, de notre histoire. Et oui, sans doute présent chez chacun chacune.
Et encore plus lunaire de ma part (je suis si candide au fond), et peut-être marquée inconsciemment par quelque influence judéo-chrétienne, je me demande si (certaines) personnes qui font le mal, qui font du mal, ne se disant pas, à un moment ou un autre, que cela ne va pas forcément leur retomber sur la gueule (boomerang, karma). Ouais, je sais ... (et je t'autorise à sourire ...)
Bonne journée.
Bises.
-
- les enfants : je suis responsable de tous leurs malheurs (petits et grands tourments) puisque je les ai mis au monde.
- les rêves : lorsque je peux m'en souvenir au réveil, je les décrypte aisément.
- oui, les humains sont juste bêtes... et maso... ils se gavent (avec plaisir et sournoiserie) de choses qui devraient être interdites, et se plaignent (avec une mauvaise foi flagrante) que tout cela soit à leur portée
- J'adore ta première photo... c'est une image symbolique de ce qu'est ma propre vie : du flou, avec un premier plan en beauté...
-
Lundi 21 Octobre à 19:27
-
Ah, quand les enfants quittent le nid, la Merveille, seulement 17 ans, partis étudier à la capital loin de la maison ! Heureusement que je travaille à Paris, ce qui me permet de la voir un peu ;-) Et puis elle aussi à besoins de me/nous voir, nous entendre aussi, merci le téléphone et réseaux sociaux pour suivre un peu sa nouvelle vie d'étudiante ;-)
Et sinon, c'est dommage qu'il n'y ai jamais d'hommage pour les éternels seconds rôles, je suis bien d'accord...
-
Lundi 21 Octobre à 19:30
-
On a toujours peur pour nos enfants... La vie est tellement dure, la précarité de plus en plus omniprésente, le danger est partout plus présent chaque jour...
On voudrait les garder auprès de nous, les protéger... Mais c'est impossible...
Mes parents pleuraient quand je repartais avec la petite troupe... Maintenant c'est à mon tour de pleurer... Je comprends mieux ce qu'éprouvaient mes parents... Je le leur dit... Mais l'entendent-ils ???
-
Mardi 22 Octobre à 21:50
-
Et si l'angoisse qui te vient pour tes filles n'était que le reflet d'un manque de confiance en toi-même ? Au fil de ce que tu laisses passer de tes fragilités, tes doutes, tes questionnements, on lit ta force, ta détermination, ton amour pour les tiens, pour la vie. C'est ce que tu leur as transmis, de façon évidente, il ne reste qu'à leur faire confiance, totalement confiance. Tes filles sont en partie faites de ce que tu leur as transmis, cette force, cette solidité. Le reste leur appartient.
Le handicap est omniprésent dans nos vies, c'est juste que jusque récemment, la plupart des gens ne le voyaient pas, parce que plus ou moins dissimulé. Sport, art, travail, quotidien banal, l'occasion de rappeler que les handicapés sont des humains comme les autres.
La drogue, l'argent facile... Bah, l'espèce humaine est increvable, elle oublie le mal, la douleur, la souffrance aigue, ne s'en souvenant que quand elle frappe à nouveau. Il y a des guerres et des drames insupportables autour de nous depuis que l'humanité peuple ce monde, et des gens formidablement heureux.
Tes écrits ne sont qu'émotions, c'est extrêmement touchant, émouvant. Merci de nous les partager.
♥♥♥
-
Mercredi 23 Octobre à 10:46
Et sinon, au vu de la triste actualité (une fois de plus) d'un député LFI, je te livre ceci, qui reflète bien ma pensée (en mieux tourné) :
https://lejournal.info/article/lfi-coke-en-stock/
-
Mercredi 23 Octobre à 23:39
-
Mercredi 23 Octobre à 23:41
-
Ajouter un commentaire
Être mère, une mission de haut vol, je trouve, en précisant que je suis mère moi-même.
Quant aux rêves, si proches de ce que nous avons vécus le jour même et si proches de ce que nous vivons à l'intérieur de nous, ils demandent ardemment un voyage en nous-mêmes, lorsque nous pouvons nous réveiller, bien sûr ;)
je me demande si la boulangère va continuer à vous ouvrir les portes de sa boutique ;)
Dites-moi, où avez-vous vu cette émission sur ces danseurs aveugles à sao Paulo ?
Merci, tellement, de passer chez moi : c'est si gentil !
"Une mission de haut-vol" : mais oui, on peut le dire comme ça (d'autant que le père de mes filles a été absent, puis mort ... quelque part, cela peut-être fait encore plus lourdement peser -ou donner la sensation de- quelque chose de l'ordre de ... je ne sais pas ... la culpabilité). A posteriori, on ne peut s'empêcher de réfléchir sur ses choix passés, et ces actes sur lesquels on ne peut plus revenir ! Mais allons de l'avant, de l'allant !!
Je me répète, mais les rêves sont une partie de ma vie auxquels je suis très attachée. Si je devais ou voulais consulter un psy quelconque, c'est de ça que je voudrais parler.
Mon compte-rendu de la séance boulangère a peut-être un ton plus raide que dans la réalité : je suis restée courtoise et souriante ... et y retourne (d'ailleurs, ils n'ont toujours pas bougé la panière à postillons ... mais réduit son contenu ! ;-) ...)
C'était sur arte, je suppose donc qu'il est en replay, comme une grande partie de ses productions (mais ayant pris le film-documentaire en route, je n'ai pas vu le titre ni à quelle catégorie il appartenait, désolée)
Bonne journée !