• Des départs, des passages, des changements ...

    Il y a deux ans je commençais ce blog. Je le signale parce je suis attachée aux anniversaires, aux ponctuations, aux repères. Il y a un an j'ai ralenti la fréquence des billets, et parfois, malgré le plaisir que je prends à faire voir, lire et écouter ici, me prend parfois l'envie d'arrêter, parce que je voudrais en dire et faire plus, partager davantage, mais que le manque de temps est frustrant. Vivre est toujours un choix d'activité et d'emploi du temps. Et un blog est souvent un plaisir solitaire. J'ai quelques fidèles et je les remercie de l'être. Vivement. Ça fait du bien. Je ne sais pas quelles autres consultations silencieuses je suscite, n'étant pas technicienne pour deux ronds et ne pensant jamais à demander à mon autrui de regarder pour moi les stats de passage. Bref, je ne sais pas quoi en faire de plus ou de différent ou de mieux, de ce blog. Ralentir, étoffer, varier, diversifier ? L'avenir le dira. Pour l'heure, ce passage est l'occasion d'un "reportage" particulier. Celui de la fête de départ de ma copine Caroline .

    (Note : pour ces photos, je n'ai demandé l'autorisation à personne d'autre que la principale intéressée ; faites-moi savoir votre refus éventuel de paraître ici et j'ôterai votre image ).

     

    AVEC LE TEMPS (38)

    Quand je suis arrivée à Paris il y a quelque dix ans et des poussières d'années, c'est une des premières vitrines du quartier d'alors qui avait attiré mon oeil. J'étais entrée et le courant était tout de suite passé. Il faut dire que le courant passe facilement d'elle aux gens, parce que Caro est rigolote, pleine de fantaisie et d'attention aux autres. Bref, nous sommes devenues copines, même si nous ne nous sommes pas toujours vues souvent. Et c'est elle aussi, qui a permis que pour la première fois je puisse exposer quelques-unes de mes photos d'affiches lacérées.
    Et voilà ! Caro s'en va vers des cieux ensoleillés dans le Sud et Cinecittà, en travaux ce mois, passera aux mains d'un monsieur, certes fort sympathique, mais qui n'est pas elle, et qui vendra des cabans, si j'ai bien compris...
    J'ai failli ne pas y aller à ta fête, Caro, j'en avais gros sur la patate, et je craignais fort de montrer le bourdon qui me gagnait.

        (Alain Souchon, Tailler la zone )

     Et puis j'ai eu envie de partager ces moments avec toi et les autres, toute piètre convive que je risquais d'être. Un verre de vin et un paquet de photos plus tard, au milieu des manifestations d'affection et de l'amitié ambiante, ça allait mieux ...

     AVEC LE TEMPS (38)

    Oh mais il est un peu plombant mon billet d'aujourd'hui, non ? Bon, on rembobine, et on recommence sur des bases (de mots) plus festives ... Allez !

     AVEC LE TEMPS (38)À la vôtre !


    Je vous livre, sur trois jours,  tout un paquet de photos

    en vrac, de paroles, de regards, d'embrassades, de

    chansons (muettes, l'Irlandais chanteur Gary invité n'a

    pas de trace sonore sur le Net même là où il a déjà

    joué), de sourires et de larmes, de moments  gais ou

    calmes, colorés ou fervents, pleins d'amitié en tout

    cas. Toujours.

    (pensez à cliquer sur les photos pour les voir en grand)

    AVEC LE TEMPS (38)

    AVEC LE TEMPS (38)

    (Michel, le futur patron ...)

    AVEC LE TEMPS (38)AVEC LE TEMPS (38)AVEC LE TEMPS (38)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    AVEC LE TEMPS (38)

    AVEC LE TEMPS (38)

    AVEC LE TEMPS (38)AVEC LE TEMPS (38)AVEC LE TEMPS (38)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    AVEC LE TEMPS (38)

    AVEC LE TEMPS (38)

    Beaucoup d'images, et le serveur me prévient que tout ça est lourd, alors cette fête se fera en plusieurs fois.

    Cinecittà : entracte

    Je vous laisse avec une chanson ...

     David Bowie, Changes

    À suivre ...


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