Voir tous les tags-
Interlope
Métaphores
Comme quand l'esprit est encombré, à un carrefour où tout est imbriqué, chacun s'est avancé et la circulation n'est plus possible, bloqué ; vision impossible.
Comme quand le vitré de l'œil est parsemé de taches en suspension qui dansent, de micro-méduses transparentes qui traversent le champ.
On sait, on pense, on espère que ces passagers, que ces parasites des actions, des émotions, des organes ne sera que de courte durée avant la prochaine rencontre.
Il faudrait, au milieu de tout ça, lever la tête et, même en fermant les yeux, regarder la lumière. Pour sentir sa chaleur.
-
Commentaires
Que dire pour ce que nous ne pouvons maîtriser, sinon espérer qu'on puisse y remédier !
En voyant cet embouteillage, je me dis qu'on connait le responsable !
Mais si celui de l' Elysée !
Si tout le monde était responsable, il n'y aurait besoin ni de police ni de radar !
Passe une bonne journée
amitié
-
Mardi 2 Avril à 12:12
Y remédier ou s'en accommoder (ce sera de pire en pire, les dysfonctionnements -pas forcément graves- avec le temps !)
Oui, si tous les êtres étaient responsables, suivaient les codes et les lois (même s'il en est sur lesquelles il faudrait absolument revenir !) ça irait mieux, peut-être même bien. Mais ce n'est pas ainsi !
Merci et passe une bonne journée toi aussi.
Amitié.
-
4patrickMardi 2 Avril à 16:09
Il est beaucoup question des yeux là ! que ne veux-tu pas voir ?
Désencombrer l’esprit en écrivant, il n’y a que ça, qui me va.
(Ma petite fille m’a écrit une histoire : « c’est une licorne pas comme les autres, qui voulait découvrir le monde des humains … un jour elle est partie … fin… » moi j’attends la suite, j’y vois là un message…)Bisous Nikole
-
Mardi 2 Avril à 19:16
Tu as raison, et bien sûr je ne m'en étais pas rendu compte à ce point.
Faut dire que l'œil est chez moi le sens le plus important.
Et même écrire, maintenant, j'ai un peu de mal. Je dois traverser une mauvaise passe.
Tant que ce n'est qu'une passe, ça ira.
Merci à toi.
Bisous chocorêve.
-
Sacré bintz à ce carrefour et dans le ciel aussi chargé de nuages noirs !
Pour les méduses des yeux, rien d'autre à faire que s'y habituer, parfois ça fait voir la vie de façon plus floue et c'est pas plus mal ...
Pour les méduses de la vie qui encombrent le chenal, je crains bien être dans le même océan de tempête à attendre que la mer d'huile revienne tout en pilotant le bateau vers le grand large...Il y a du soleil, c'est déjà ça !
Bonne journée.
Bises.-
Lundi 8 Avril à 15:34
Souvent le bintz à ce carrefour. Souvent le bintz dans les vies.
J'aime beaucoup ton passage sur les méduses. Tu poétises et métaphorises de plus en plus souvent : ça me plaît bien. Souquons ferme, moussaillon ! ;-)
Oui, soleil, ici aussi.
Bonne après-midi.
Baisers.
-
Suivre le flux RSS des commentaires
Ajouter un commentaire
C'est ce que je fais qui me dit ce que je cherche. (Soulages)
-
Le Krop ouvre un
deuxième oeil chez :
Clic (sur le logo) si
vous voulez y découvrir d'autres photos.
Créer mon blog
j'ai connu ces "pépites oculaires", qui m'ont effrayé comme elles doivent t'apeurer itou, au fond ce n'est que passager dû à un renouvellement de la matière dixit l'ophtalmo ... quant aux embouteillages routiers ... mieux vaut ne pas y être mêlés
dans les deux cas la patience est nécessaire !
amitié .
On se fait aux dysfonctionnements organiques dès lors qu'on sait que même parfois spectaculaires, ils ne sont pas graves pour autant, ni mortels.
En l'occurrence, c'est dans mon esprit queça embouteille, mais ça repasse régulièrement au vert, même si, là aussi (voir là-bas) les signaux ne sont pas toujours clairs !!
Je suis patiente, certes, mais ne le suis-je pas trop parfois ? ... c'est une autre histoire.
Merci.
Amitié.