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    Métaphores

     

    Interlude

     

       Comme quand l'esprit est encombré, à un carrefour où tout est imbriqué, chacun s'est avancé et la circulation n'est plus possible, bloqué ; vision impossible.
       Comme quand le vitré de l'œil est parsemé de taches en suspension qui dansent, de micro-méduses transparentes qui traversent le champ.
       On sait, on pense, on espère que ces passagers, que ces parasites des actions, des émotions, des organes ne sera que de courte durée avant la prochaine rencontre.
       Il faudrait, au milieu de tout ça, lever la tête et, même en fermant les yeux, regarder la lumière. Pour sentir sa chaleur.

     


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